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Job fatigue : quand la routine professionnelle vous épuise sans raison apparente

  • Photo du rédacteur: Rim Bensouissi
    Rim Bensouissi
  • 7 avr.
  • 2 min de lecture



Vous êtes au travail tous les jours, vous faites ce qu’il faut, parfois même plus… et pourtant, quelque chose cloche. Une fatigue qui s’installe, une motivation qui s’effrite, un sentiment de saturation.

Bienvenue dans la job fatigue, une forme d’épuisement mental qui peut s’installer même en dehors de tout contexte de crise ou de surcharge exceptionnelle.


Pourquoi ça arrive ?

Contrairement au burnout, la job fatigue n’est pas forcément liée à une charge excessive. Elle peut venir d’un déséquilibre plus subtil :

  • Une routine devenue trop répétitive 

  • Un manque de reconnaissance ou de perspectives 

  • Une sensation de tourner en rond, de ne plus apprendre 

  • Une accumulation de petites pressions au quotidien 

Elle agit en silence, mais ses effets sont bien réels : baisse d’énergie, démotivation, perte de concentration, voire détachement émotionnel.


Comment réagir avec intelligence ?

1. Identifier ce qui vous pèse vraiment Est-ce le rythme ? Les tâches ? Le manque de sens ? Posez un regard honnête sur ce qui alimente cette lassitude. Ce premier pas est souvent libérateur.

2. Réintroduire de la nouveauté Changer l’ordre de vos tâches, découvrir une nouvelle compétence, proposer un nouveau projet : parfois, une petite initiative peut redonner de l’élan.

3. Parler (même brièvement) Exprimer ce que l’on ressent à un collègue, un manager ou un proche peut suffire à désamorcer une sensation d’isolement.

4. Réévaluer vos besoins pro Qu’est-ce qui vous motive aujourd’hui ? Est-ce toujours en phase avec votre poste ? Vos objectifs ont peut-être évolué, et c’est normal.


 La job fatigue est un signal, pas une fatalité. Apprendre à l’écouter, c’est s’offrir la possibilité d’évoluer autrement : plus en conscience, avec plus d’équilibre, et surtout avec plus de sens.


Article en collaboration avec notre partenaire ReKrute.com



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